CINÉ-DÉBAT: "Les Survivantes"
Jeudi 17 Octobre à 20h30
Séance à 6,50€ - au cinéma LE SELECT, 7 Boulevard d'Hauteserve - GRANVILLE
Thème abordé :
Le documentaire est composé du témoignage de 8 femmes ayant subi le drame de la pédocriminalité et tous les processus délétères qui la font perdurer...
Suite à la projection: des échanges avec L’association trentenaire cherbourgeoise
"Sortir du Silence" sont prévus.
Bande annonce: https://www.youtube.com/watch?v=53FZqW0uePw
Réservation et billetterie, ou achat sur place :
https://www.cinemaleselect-granville.com/.../26100-cine.../
Merci aux Pipelettes de Granville pour la proposition de projection de ce sujet plus que d'actualité.
THEÂTRE:
Dimanche 6 octobre 2024 à 15h30
Salle du REX à SOURDEVAL
L'AMAAR vous invite à assister à
la représentation théâtrale de
"UBU EN AFRIQUE"
d'après UBU ROI de Alfred Jarry
par le Théâtre du Tiroir de Laval
sous la direction de Jean-Luc Bansard.
Réservation : 0674357874
Contact François Davoust (Association AMAAR)
Alberto Macquart nous disait le paradoxe incroyable des commémorations de la libération très populaires et le fait que les sondages nous disent que 40% des électeurs s‘apprêteraient à voter pour l’extrême droite dimanche. La prise de pouvoir par cette même extrême droite dans les années 20-30 est responsable des atrocités, de la misère de la guerre mondiale.
Pour mieux comprendre et débattre du courage, des espoirs, des trahisons : ciné débat aux Unelles le 13 juin 20H, « La Nueve » un documentaire indispensable de Alberto Macquart. (Entrée gratuite)
Section LDH Coutances Granville.
Nouvel opus de notre festival et toujours ce même refrain à méditer : « Une presse libre peut, bien sûr, être bonne ou mauvaise, mais très certainement sans liberté, la presse ne sera jamais que mauvaise. » Albert Camus
Liberté d'expression, devoir d'information, exposition des faits, recherche de la vérité, propagande et manipulation : les détecter et s'en prémunir... voilà ce que nous explorons ensemble tout au long de ce festival.
Ce mois-ci, nous nous penchons sur l’anatomie d'une enquête aux questionnements vertigineux, dans laquelle le réalisateur donne à voir toute la complexité des liens entre un journaliste et sa source.
Un film à voir et à revoir avec peut-être un autre regard…
Suite du festival le jeudi 25 avril à 20h00 avec ENQUETE SUR UN SCANDALE D’ETAT - bande annonce
Séance à 6,50€ - au cinéma LE SELECT, 7 bd d'Hauteserve - GRANVILLE
La projection débutera pile à 20h00 - Billet sur place ou en cliquant sur ce lien
Suite du programme du festival inséré ci-dessous, directement dans le mail
Merci de partager avec vos contacts et dans vos réseaux !
Au plaisir de vous accueillir au Sélect le 25 avril !
Equipe Communication
-Les Piplettes de Granville-
L'Association France Palestine Solidarité vous invite à un ciné débat au cinéma Le Select de Granville le Lundi 15 Avril à 20h30 précises autour du film "ALAM, le drapeau" du réalisateur palestinien Firas Khoury (cf PJ)"Premier long métrage du cinéaste, « Alam » montre avec une remarquable intelligence les doutes d’une jeune génération en quête d’avenir et d’émancipation, dans une société marquée par le patriarcat"Pierre Barbancey- L'Humanité"Un premier film grinçant et militant, qui débute avec une fausse naïveté et va vers le drame à mesure que le conflit entre Juifs et Arabes reprend ses droits. Une réussite"Xavier Leherpeur- L'Obs
Le film sera suivi d'un débat en présence d'un membre de l'AFPS Rennes qui était présent à Gaza le 7 Octobre 2023.
« Je savais devoir être dans l’adversité », l’avocate rennaise défend les mineurs non accompagnés
Le soutien aux plus vulnérables chevillé au corps, l’avocate militante rennaise Mélanie Le Verger se bat inlassablement depuis 2005, à Rennes, pour la prise en charge des mineurs non accompagnés, qui ont fui leur pays au péril de leur vie.
« J’ai toujours eu envie d’aider les plus vulnérables. Ceux qu’on n’entend pas. Si j’ai fait du droit, c’est dans une vision idéale de la justice. » À genoux sur son tabouret ergonomique, la musique de Keith Jarrett en fond sonore, l’avocate dégage de la bienveillance. Sur son étagère, des dizaines de dossiers. Des histoires de vie et d’exil qu’elle connaît par cœur.
Mélanie Le Verger, 46 ans, petite-fille d’agriculteurs costarmoricains, connue pour sa pugnacité, a, en vingt ans, aidé « 400 ou 500 » jeunes mineurs non accompagnés (MNA), arrivés des quatre coins du monde, au péril de leur vie, pour fuir la guerre, des violences intrafamiliales, un mariage forcé, ou simplement aller à l’école.
Représentante aux Nations unies
C’est en 2002, que Mélanie Le Verger prête serment. « Mais je ne me sentais pas légitime, pas suffisamment expérimentée. » La jeune diplômée, déjà bénévole dans une ONG de défense des droits humains, préfère partir six mois à Londres pour parfaire son anglais. À son retour, elle poursuit son engagement dans la Fondation France Libertés, créée par Danielle Mitterrand, « une sacrée femme,
altermondialiste ».
Mélanie Le Verger voyage, visite les camps de réfugiés, comme à Soweto, en Afrique du Sud, enquête en solo, souvent clandestinement, en Thaïlande, en Turquie... Représentante aux Nations unies, elle prend la défense des opprimés. Jamais, elle n’oubliera ce jour où elle dénonce la situation des femmes en Iran, devant la commission des droits de l’homme de Genève. « À la fin, le représentant de l’Iran m’a
giflée. J’ai porté plainte. » De cette époque, elle garde fièrement, une photo d’elle aux côtés de Nelson Mandela et Danielle Mitterrand.
Après le démantèlement du centre d’hébergement de Sangatte, à Calais, elle découvre « la situation des mineurs non accompagnés, irakiens, kurdes,
afghans ». En 2005, endurcie, Mélanie Le Verger finit par intégrer le barreau de Rennes, et se spécialise en droit des étrangers. « Je savais que je serai dans l’adversité, mais il n’y avait pas
de polémique à l’époque, pas de contentieux, pas de tests osseux. C’était presque reposant, une cause gracieuse. J’étais naïve. » Depuis cette date, Mélanie Le Verger, aide ces jeunes exilés, à
être reconnus mineurs, ou obtenir le droit d’asile. « Il y a des juges courageux, on gagne des dossiers. Mais il y a de vrais moments de découragement».
« Besoin d’affection, de tendresse »
Mélanie Le Verger est impressionnée : « Ces jeunes ont des personnalités incroyables, un instinct de survie très fort. » Comme Mohamed, 12 ans, Guinéen. « Son père est mort, sa mère a dû se remarier avec le frère de son mari, un imam radicalisé, qui l’a envoyé à l’école coranique, où il y a maltraitance, esclavagisme, défaut de soins, obligation de mendier. Après plusieurs tentatives, il a réussi à fuir. » Quand il arrive à Rennes, les places d’urgence sont saturées et c’est difficile de trouver une famille d’accueil. « Je l’ai pris chez moi. Sinon, c’était la rue, le risque d’être approché par des prédateurs sexuels. »
Les moyens, les places d’hébergement manquent. Mélanie Le Verger, mère de trois enfants de 19, 16 et 7 ans, n’hésite pas. « Il y a un point de bascule, si on ne leur tend pas la main à ce moment, je ne sais pas ce qu’il peut se passer. Certains sont mieux en foyer éducatif. Beaucoup ont besoin d’affection, de tendresse. » Charly, Camerounais, devait rester un week-end. Il est resté trois ans chez l’avocate. « Aujourd’hui, il est cuisinier et papa. Et le grand frère de mes enfants. » Mélanie Le Verger s’est formée en psychologie interculturelle. « Pour comprendre leurs craintes. Ces jeunes qui ont traversé la Méditerranée, ont parfois été vendus et revendus en chemin, souffrent de troubles post-traumatiques. Comment les évaluer sans les rassurer avant ? Comment peuvent-ils se confier ? »
L’avocate ne leur demande jamais de raconter leur histoire le premier jour. Il faut qu’ils soient prêts. Moustic, son Chihuahua à poils longs, toujours présent au cabinet, est son meilleur allié. « Parfois l’avocat est pour eux une personne nantie, corrompue. Moustic m’humanise.»
Les mineurs tombés dans la délinquance, « une minorité »
Quand Marion Boé a voulu faire un documentaire à Rennes, sur les MNA, «éducateurs, associations, m’ont tous parlé de Mélanie Le Verger ». Si celle-ci a accepté « c’est pour donner de l’espoir ». Il ne s’agit pas d’ignorer les mineurs isolés tombés dans la délinquance.
« Mais c’est une minorité. Des jeunes déjà désocialisés dans leur pays, sous emprise, qui échappent aux dispositifs. Au cabinet, je ne vois aucun jeune venu pour voler. »
Aujourd’hui Mélanie Le Verger réfléchit « à d’autres moyens de les aider. » Elle vient d’acquérir 40 ha à Gomené (Côtes-d’Armor), héritage d’un poète paysager, pour un projet « qui réunit toutes mes convictions ». Sur ce sanctuaire naturel, celle qui s’est déjà présentée aux législatives, sous la bannière écologiste, rêve de monter un plateau d’insertion pour de jeunes MNA, voire un lieu de vie pour deux ou
trois jeunes.
« Ça va prendre du temps, mais aider les autres, c’est ce qui me rend heureuse. »
Diffusion d’un DOCUMENTAIRE Un pays de papier : lundi 8 avril à 21h sur https://www.tvr.bzh/
Marion Boé, documentariste, a planté sa caméra dans le cabinet de Mélanie Le Verger pour réaliser un film sur les mineurs non accompagnés.
Plusieurs témoins racontent leur histoire, la violence, le mariage forcé. Ils expriment leur souhait
d’aller à l’école. « On ne se rend pas toujours compte du parcours de ces jeunes qui ont perdu
des proches en mer lors de leur traversée .
Ce film c’est aussi pour dépasser les clichés, mieux comprendre qui ils sont », explique la documentariste.
En réaction aux États généraux de l’information organisés par le gouvernement, une centaine de médias indépendants (Mediapart, Basta, XXI, Disclose, Fakir, Reporterre, etc) ont organisé des États généraux de la presse indépendante et on lancé 59 propositions. Elles visent à défendre l'indépendance des médias, à garantir le droit à l'information, à réformer les aides à la presse, etc.
Dans ce cadre, de multiples déclinaisons locales sont organisées.
A Vire, le vendredi 15 décembre, une soirée avec enregistrement d'une émission de radio et un apéro seront organisés, en présence de médias indépendants normands, notamment le journal d'investigation Le poulpe.
Ciné-Débat avec la LDH:
"Avant que les flammes ne s'éteignent"
le jeudi 7 novembre 20H30
au Sélect de Granville
animé par Nathalie TEHIO, avocate,
membre du bureau national de
la Ligue des Droits de l’Homme
et
coordinatrice des observatoires
LDH des pratiques policières.
Le film est l'objet d'une violente campagne de dénigrement par l'extrême droite!
"Le film de Mehdi Fikri est visé par une "violente campagne de dénigrement", alerte la Société des réalisatrices et réalisateurs de films, qui pointe du doigt "des groupes d'extrême droite". Sur AlloCiné, la note du film a chuté. Un stratagème déjà observé pour des films relatifs aux minorités."
Cliquez ICI -----> https://www.cfppa-coutances.com/legumes-bio-restauration-collective/
INVITATION À LA DIFFUSION DU FILM
QUELLES ORGANISATIONS POUR PLUS DE LÉGUMES BIO LOCAUX DANS NOS RESTAURANTS COLLECTIFS ?
Jeudi 23 mars 2023
À 18h00 | Lycée agricole de Coutances
Un film de 17min réalisé par Bernard SIMON
Suivi d’une table ronde et d’un pot de l’amitié
Madame, Monsieur,
L'association Bio en Normandie et le CFPPA de Coutances ont le plaisir de vous convier à la diffusion de leur film portant sur la filière des légumes biologiques locaux en restauration collective.
Préservation de la santé et de l’environnement, dynamisation de l’économie locale, éducation au goût et sensibilisation au patrimoine agricole et culinaire... nombreux sont les enjeux d’un approvisionnement biologique local en restauration collective. Pourtant, le constat de ces bonnes raisons ne suffit pas toujours à la mise en place de projets d’introduction de produits bio locaux, il est nécessaire pour cela de combiner une véritable volonté politique aux ressources agricoles et logistiques du territoire. Aboutissent alors des mesures adaptées : matériel, formation, coordination, sensibilisation.
Ce film présente des organisations existantes sur le territoire normand et qui, à leur échelle, montrent que produire de la qualité dans les cantines est possible. Aucun modèle n’est parfait, mais tous tentent de faire au mieux en fonction de leurs moyens pour, toujours, voir évoluer leurs pratiques vers plus de qualité.
Élus, cuisiniers, producteurs, transformateurs, convives, parents d’élèves, êtes tous les bienvenus à la diffusion de ce film, ainsi qu’à la table ronde et au pot qui feront suite.
- Gladys Legallois, Conseillère en Restauration Collective
Au plaisir de vous compter parmi nous le 21 mars prochain !Les Piplettes de Granville vous vous invitent à leur prochain ciné-rencontre !
Il sera question de notre liberté à disposer d'un bien commun : l'eau... l'eau qui tombe, qui s'infiltre dans la terre, qui recharge les nappes phréatiques... et que certains s'approprient en la pompant dans des méga-bassines.
Doit-on accepter un système agro-industriel toujours plus gourmand en eau ? ou bien privilégier des solutions déjà mises en œuvre par l'agriculture écologique et paysanne qui limitent leur impact, non seulement sur les ressources en eau, mais aussi sur l'environnement. Les paysannes et paysans respectueux des terres ont réfléchi à la question depuis longtemps. Avec nous, trois intervenantes investies viendront exposer le problème et présenter des solutions alternatives.
Nous sommes tous concernés : l'eau, c'est la vie !
Une guerre de l'eau a bien eu lieu à Cochabamba, en Bolivie, du 11 janvier au 10 avril 2000.
En support à notre propos, Même la Pluie raconte le tournage d’un film d’époque dans une Bolivie déchirée par les conflits de l’eau.
Un film écrit par Paul Laverty (principal scénariste des films de Ken Loach) et réalisé par Iciar Bollain (voir la bande annonce).Ciné-rencontre : "Même la Pluie"
au cinéma LE SELECT - 7 bd d'Hauteserve Granville
Mardi 21 mars à 20h30 - 6€Merci de partager largement avec vos contacts et vos réseaux sociaux.
Le nombre de places étant limité, il est prudent de réserver, sur place ou en cliquant sur ce lien.Equipe Communication-Les Piplettes de Granville-
Bande annonce disponible ici
cliquez le lien ci-dessous:
https://www.youtube.com/watch?v=goSMydAsF1k
CONTACTEZ-NOUS :
alternatives-solidaires@orange.fr
Dans les locaux de Comm'un Atelier
20A Rue de Regnéville, 50200 Coutances